Hiokizakura Junmai Kimoto Tamasakae

Hiokizakura
JunmaiJunmai = pur , cela signifie que le saké est normalement sans aucun ajout d'alcool ni additifs chimiques kimotoKi = naturel
Moto = shubo, levain, fond de cuve
Kimoto = Levain naturel
Cette méthode consiste à écraser le riz pour aider le KojiQu’est ce que le Koji ? Dans le cadre du saké, le koji est une moisissure noble qui permet de transformer l’amidon contenu dans le riz en sucre. On appelle cette étape la saccharification. a transformer l'amidon du riz en sucre, lors de l'étape du shubo (fond de cuve). l'acide lactique sera produit naturellement par la fermentation. on utilisera plutôt les levures naturelle qui vivent dans la brasserie mais l'utilisation de levures sélectionnées est autorisé par la législation. Tamasakae

Ce sake Junmai pur riz produit selon la méthode traditionnelle kimoto, a un goût que les méthodes modernes (brassage rapide) ne peuvent pas créé. Un plus grand nombre de micro-organismes sont impliqués dans le processus de fermentation, notamment les bactéries lactiques qui sont conservées dans la brasserie, ce qui donne un goût plus complexe, multiforme et tridimensionnel. L’environnement de la brasserie va aussi fournir les levures sauvages qui vont transformées le sucre en alcool, ce saké est peut-être celui dans lequel les intentions les caractéristiques de la brasserie sont le plus clairement exprimées.

Un Goût léger et mature avec une acidité d’agrumes.

Sa couleur jaune ambré, ses arôme de jus d’agrumes mélangé à un arôme mûr rappelant le bouillon de soupe de kombu, le miso et les craquelins de riz. Malgré sa couleur et son arôme, le goût mûr n’est pas fort, et une acidité rafraîchissante d’agrumes se répand. Avec l’air, la douceur de la maturité se mêle à l’acidité. Une légère acidité et un soupçon de douceur mature demeurent en arrière-goût.

A 40° C, la légère maturité est bordée par l’acidité et l’aigreur. A 50° C, l’acidité s’arrondit, mais l’aigreur devient plus forte et ajoute de l’acidité au goût léger et mature. Moins sucré et épicé ; à 60° C, la douceur revient, entremêlée d’une acidité citronnée. L’astringence entoure la douceur.

un sake sauvage, brut et tendre